dimanche 7 juin 2009

Un homme de main de Sassou N’guesso viole une petite de 12 ans à la Résidence privée de M’pila !
Les honneurs sont les honneurs et il ne sert à rien de les perdre ou de les faire perdre en posant des actes qui, non seulement vous déshonorent mais, ternissent aussi l’image de vos supérieurs hiérarchiques.

Voilà pourquoi, à l’image de M. Sassou , en sa qualité de président de la République qui se doit constamment de briller par l’exemple en faisant montre de beaucoup de sagesse, de retenue, d’humilité et de bonne moralité, tous ceux qui l’entourent, le sécurisent et travaillent nuit et jour au sein de sa résidence privée de M’pila ont l’obligation morale de vivre comme leur Boss. Comme quoi, le subalterne est obligé de vivre comme son Maître.

Car, au Congo, avouons-le, il n’est pas donné à n’importe quel citoyen ordinaire de vivre tout autour de la Résidence privée de M’pila, de travailler et surtout de protéger M. Sassou. Dès lors, ceux qui ont eu le privilège d’occuper des postes de responsabilités auprès de M. Sassou et surtout d’être des hommes du sérail devraient s’efforcer d’éviter de le déshonorer, de souiller son image. Or, certains hommes de main de M. Sassou éprouvent jusqu’ici encore du mal à assimiler toutes les notions de civisme et de bonnes mœurs.

L’exemple le plus frappant est celui du tristement célèbre, Joseph Nianga, âgé de 53 ans, un homme de confiance et Commandant adjoint des Blindés de la Direction générale de la sécurité présidentielle qui vient de violer, sans gêne et sans peur, une gamine de 12 ans ! Intolérable. Cette scène ignoble et très ubuesque s’est déroulée dans le domaine de la Résidence privée de Sassou N’guesso qui, vraisemblablement, vient de comprendre que tous ceux qui l’entourent, nuit et jour, et font semblant de le protéger ne sont pas, en réalité, des Anges de Dieu mais des bidons hommes comme ce voleur qui a ravi tout récemment l’appareil photo numérique de Talassa sous prétexte qu’il était interdit de filmer Mvouba et Okombi.

Qui l’aurait cru, ce commandant adjoint en chef, se livrer idiotement et sauvagement, à un acte de viol consommé? En effet, en posant un acte aussi crapuleux et honteux envers une fillette de 12 ans, que recherchait-il réellement ? Le plaisir ? Les sensations les plus extrêmes ? La fraîcheur d’un corps tendre et sain ? Nul ne pourrait répondre avec exactitude. Mais, à tout prendre, le mal est déjà consommé de la plus vilaine manière car les grands muscles de Joseph Nianga, ses gros biceps et ses hanches de Bon Catcheur lui ont permis de «créer en Mbéba» aussi facilement comme au temps de Sodome et Gomorrhe. Quel royaume de Tchambitsiombal satanique de M’pila !

A y regarder de plus près, il y a lieu de se poser quelques questions. Notre Commandant adjoint des Blindés du Chef de l’Etat voulait-il tester sa virilité et toute sa puissance physique sur le corps tout frais et sans doute de la fille de son propre collègue de la Présidence? A en croire plusieurs sources concordantes et certaines confidences, notre fameux «Violeur de la Résidence de M’pila», ne serait pas à son premier coup ; il se passe pour un habitué de ce genre d’actes en Mbéba qu’il réussissait, très souvent, à étouffer en sa qualité de Comandant adjoint des Blindés de la DGSP.

En outre, serait-il un nouvel adepte de la secte pernicieuse du roi ou encore des autres pratiques mystiques ou méphistophéliques à caractère satanique qui sont aujourd’hui à la mode au Congo et particulièrement à M’pila ?

Pour certains observateurs attentifs, le sadisme, la délinquance sexuelle et l’immoralité, affichés par le pédophile de M’pila, Joseph Nianga seraient liés à certains rites magiques propres à la plupart des acteurs politiques du moment qui, très souvent, abusent de leur propres enfants, nièces, cousines et même des folles..

Quand l’immoralité, le déshonneur et la délinquance sexuelle font leur entrée à la résidence privée d’un chef de l’Etat, il y a lieu de s’inquiéter et de s’interroger sur ce qui pourrait nous arriver dans un avenir très proche. Très touché par cet acte criminel, déshonorant et odieux, le Général Blaise Adoua, en sa qualité de Directeur de la Sécurité Présidentielle n’est pas resté insensible et sans réaction.

Le violeur et criminel Joseph Nianga après plusieurs interventions a été transféré à la Maison d’Arrêt de Brazzaville, où il occupe un petit réduit en attendant son jugement.

Aussi, quand un Commandant Adjoint des Blindés de toute la DGSP, donc, l’un des hommes de confiance du Sassou, se voit emporté diaboliquement par ses appétits et instincts sexuels incontrôlés, il est fort à craindre que la Résidence privée de M. Denis Sassou N’guesso, ne devienne, contre toute attente, un grand repère de militaires immoraux et violeurs de filles mineures.

Enfin, ceux qui auront la lourde mission de dresser le bilan des faits insolites et ubuesques qui se sont déroulés à la Résidence privée de Sassou N’guesso, durant tout son septennat, ne manqueront pas de mentionner le comportement désinvolte, indigne et immoral du fameux violeur d’une fille de 12 ans, le nommé Joseph Nianga dont la libido et les appétits sexuels incontrôlés viennent de causer l’irréparable dans la Cour du chef de l’Etat.

Intolérable !

A la vérité, les faits étant troublants et avérés, le coupable devrait mériter un procès ponctué par une série de condamnations, dommages et autres charges afin qu’il comprenne tout le mal et le grand tort qu’il vient de causer à son propre collègue de la présidence, à cette fillette de 12 ans, qui vient d’être «sauvagement et brutalement dépucelée» par Tonton Jo, un collègue de service de son père. Enfin, les magistrats congolais ont donc de la matière pour dire le droit et le faire appliquer la loi, sans peur et sans grimaces inutiles.

Voilà pourquoi, il serait étonnant et très déplorable de voir bientôt ce violeur patenté des fillettes de 12 ans ou 10 ans, être tranquillement libéré et acquitté comme cela est devenu à la mode au Congo où la loi n’attrape que les petites mouches, laissant ainsi une certaine catégorie de malfrats et de grands voyous en libertinage abusif et très prolongé (Sic !) NDLR : Pour des raisons d’intimité, de respect et de protection de la dignité de la fillette violée par M. Joseph Nianga, son nom et son prénom ne peuvent être communiqués.

Prélude d’y revenir, plus d’une personne se demande dans la rue est-ce que ce violeur n’a-t-il pas été envoyé par son chef pour commettre cette basse besogne, quand on sait que les assoiffés du pouvoir sont prêts à tout pour s’enraciner aux affaires ? Suite à ce genre d’actes qui deviennent légion, nous avons jugé utile à partir d’aujourd’hui de parler de toutes les sociétés secrètes politiques, criminelles, religieuses, initiatiques, des mystères alchimiques, question de donner des rudiments à plus d’une personne afin de se défendre comme dans les égrégores vampires.

Aucun commentaire: