mardi 9 juin 2009

Affaire Dray: Dominique Sopo et les membres de la direction de SOS-Racisme en garde à vue

Le président de SOS-Racisme, Dominique Sopo, ainsi que cinq des principaux dirigeants de l'association antiraciste ont été placés en garde à vue, mardi matin, dans les locaux de la Brigade financière à Paris. Ils sont interrogés dans le cadre de l'enquête préliminaire visant le député de l'Essonne Julien Dray.

Les policiers cherchent notamment à savoir de quelle manière SOS Racisme aurait pu alimenter les comptes personnels du député. Ce dernier, qui conteste publiquement toute malversation, pourrait être interrogé à son tour «dans les toutes prochaines semaines», indique-t-on au parquet.

Entendus par les enquêteurs ces dernières semaines, nombre de ses amis ont reconnu lui avoir octroyé plusieurs prêts et dons, soit directement, soit par le biais de SOS Racisme ou de l'organisation syndicale lycéenne FIDL.

A l'issue de cette procédure, le procureur de Paris Jean-Claude Marin pourrait décider de classer le dossier ou d'ouvrir une information judiciaire, confiée à un juge d'instruction indépendant.

lundi 8 juin 2009

> Omar Bongo Ondimba: Suites à 3200 Euros pour l'entourage du président Bongo à Barcelone
La santé du plus ancien chef d'Etat du monde est "très détériorée".Caviar et suites à 3200 euros pour l'entourage du président gabonais Omar Bongo à Barcelone.

La cohorte d’accompagnateurs du président gabonais Omar Bongo, hospitalisé depuis le 6 mai à Barcelone, ne se prive d’aucune espèce de luxe, en consommant du caviar tout en occupant les plus belles chambres du prestigieux Hôtel Juan Carlos, selon le personnel de l’établissement.

Dans une discrétion certaine, ce sont ainsi 40 à 50 personnes proches du président gabonais, qui nagent dans un luxe en parfait décalage avec la rigueur propre aux temps de crise. Admis dans un état grave dans les services de soins intensifs de la clinique Quirón de la capitale catalane, M. Bongo, âgé de 73, est aujourd’hui le chef d’Etat à la longévité la plus longue dans sa fonction, occupée depuis 1967 par l’entremise du Général De Gaulle.

Son état de santé réel fait l’objet de spéculations, positives et négatives, contrastées d’une capitale à l’autre : à Barcelone, selon une source proche de l’imposant entourage présent, la situation physique du dirigeant africain est « très détériorée ». Le train de vie de l’entourage de M. Bongo suscite de nombreuses interrogations, en raison du mystère concernant le nombre de chambres et de suites occupées, dotées, pour certaines, d'un tarif quotidien de 3200 euros.

Omar Bongo Odimba serait mort dimanche 7 juin 2009

Démenti de Libreville!
Après 41 années passées à la tête du Gabon, Omar Bongo serait mort dimanche 7 juin 2009, à 73 ans, d'un cancer, a indiqué au Point une source proche de son entourage. Libreville a toutefois démenti cette information en fin de soirée. Après avoir suspendu ses pouvoirs à Libreville le 6 mai, le plus ancien chef d'Etat africain avait été admis dans une clinique de Barcelone. Sa carrière et ses liens incestueux avec la France, avec l'INA.

(De nos archives) Mémoire vivante de la Ve République, Omar Bongo a bien connu tous les présidents français, de Charles de Gaulle à Nicolas Sarkozy. Le Président du Gabon a d'ailleurs donné sa propre définition des relations franco-africaines : "L'Afrique sans la France, c'est la voiture sans le chauffeur. La France sans l'Afrique, c'est une voiture sans carburant.

Le général de Gaulle reçoit Omar Bongo à l'Elysée en janvier 1968, soit quelques semaines après l'accession au pouvoir de ce dernier. Dans "Affaires africaines" (Fayard, 1983), Pierre Péan a levé le voile sur une investiture largement organisée par la France. Après l'indépendance du Gabon, le 17 août 1960, Paris soutient le Président Léon M'Ba qui, à défaut d'être un impeccable démocrate, est proche des autorités françaises.

A sa mort, en 1967, Jacques Foccart, le "Monsieur Afrique" de l'Elysée, opte pour son directeur de cabinet, un ancien sous-officier de l'armée française, Albert-Bernard Bongo. Quelques élections opaques plus tard, le jeune Bongo (32 ans) devient maître du Gabon. Il fonde alors le parti unique PDG (Parti démocratique gabonais). (Sur la vidéo, le 5 janvier 1968.)

Le président Pompidou reçoit Bongo à l'Elysée. Jacques Foccart dessine toujours les grandes lignes de la politique africaine. En 1973, Albert-Bernard Bongo se convertit à l'islam et devient Omar Bongo. Cette conversion l'aide à adhérer à l'Opep en 1974. (Sur la vidéo, le 6 juillet 1970.)

Avec Valéry Giscard d'Estaing à l'Elysée, un nouveau style s'impose, mais pas de réforme en matière de politique africaine. Giscard tient son Foccart en la personne de René Journiac, ancien magistrat colonial. Les prospections de pétrole d'Elf débutent sous VGE. En 1977, André Tarallo devient PDG d'Elf Gabon : en 2005, il est condamné à sept ans de prison et deux millions d'euros d'amende pour abus de biens sociaux au détriment du groupe pétrolier. (Sur la vidéo, le 28 juillet 1977.)

1984 : Omar Bongo est reçu en grande pompe par François Mitterrand. En 1994, le Président gabonais qualifiera le chef d'Etat français de "Mitterrand l'africain, le combatif et le fidèle". Venant d'Omar Bongo, le compliment a de la saveur.

Dans son ouvrage d'entretiens avec Airy Routier, du Nouvel Obs, Bongo avait balancé ses amis français : "Giscard n'a pas été le seul à recevoir en cadeau des plaquettes de diamants de Bokassa : beaucoup d'autres en ont reçues, y compris des hommes politiques français importants, qui, à l'époque, se sont fait tout petits."

Ne donnant pas de noms, Bongo s'est contenté de préciser qu'il a aidé ses amis mais n'a, en aucun cas, "aidé tel parti contre un autre". Pierre Péan raconte dans "Affaires africaines", sans avoir jamais été démenti, comment Bongo a participé au financement de la campagne du PS en 1981, histoire d'être sûr de gagner, quel que soit le vainqueur… (Sur la vidéo le 4 octobre 1984.)

1996 : Jacques Chirac se rend à Libreville. En France, l'affaire Elf défraye la chronique politico-mondaine. Omar Bongo, dans cette interview, répond que l'affaire est "franco-française" et qu'il demandera des "comptes" si l'argent du Gabon a été pillé. Plus de 2 milliards de francs ont été détournés des caisse du groupe pétrolier par ses dirigeants à la fin des années 80. Nerf de la guerre de toutes les transactions occultes, la Fiba (French International Bank of Africa) appartenait à Elf, à la famille Bongo et à l'Etat congolais. (Sur la vidéo, le 16 juillet 1996.)


dimanche 7 juin 2009

Un homme de main de Sassou N’guesso viole une petite de 12 ans à la Résidence privée de M’pila !
Les honneurs sont les honneurs et il ne sert à rien de les perdre ou de les faire perdre en posant des actes qui, non seulement vous déshonorent mais, ternissent aussi l’image de vos supérieurs hiérarchiques.

Voilà pourquoi, à l’image de M. Sassou , en sa qualité de président de la République qui se doit constamment de briller par l’exemple en faisant montre de beaucoup de sagesse, de retenue, d’humilité et de bonne moralité, tous ceux qui l’entourent, le sécurisent et travaillent nuit et jour au sein de sa résidence privée de M’pila ont l’obligation morale de vivre comme leur Boss. Comme quoi, le subalterne est obligé de vivre comme son Maître.

Car, au Congo, avouons-le, il n’est pas donné à n’importe quel citoyen ordinaire de vivre tout autour de la Résidence privée de M’pila, de travailler et surtout de protéger M. Sassou. Dès lors, ceux qui ont eu le privilège d’occuper des postes de responsabilités auprès de M. Sassou et surtout d’être des hommes du sérail devraient s’efforcer d’éviter de le déshonorer, de souiller son image. Or, certains hommes de main de M. Sassou éprouvent jusqu’ici encore du mal à assimiler toutes les notions de civisme et de bonnes mœurs.

L’exemple le plus frappant est celui du tristement célèbre, Joseph Nianga, âgé de 53 ans, un homme de confiance et Commandant adjoint des Blindés de la Direction générale de la sécurité présidentielle qui vient de violer, sans gêne et sans peur, une gamine de 12 ans ! Intolérable. Cette scène ignoble et très ubuesque s’est déroulée dans le domaine de la Résidence privée de Sassou N’guesso qui, vraisemblablement, vient de comprendre que tous ceux qui l’entourent, nuit et jour, et font semblant de le protéger ne sont pas, en réalité, des Anges de Dieu mais des bidons hommes comme ce voleur qui a ravi tout récemment l’appareil photo numérique de Talassa sous prétexte qu’il était interdit de filmer Mvouba et Okombi.

Qui l’aurait cru, ce commandant adjoint en chef, se livrer idiotement et sauvagement, à un acte de viol consommé? En effet, en posant un acte aussi crapuleux et honteux envers une fillette de 12 ans, que recherchait-il réellement ? Le plaisir ? Les sensations les plus extrêmes ? La fraîcheur d’un corps tendre et sain ? Nul ne pourrait répondre avec exactitude. Mais, à tout prendre, le mal est déjà consommé de la plus vilaine manière car les grands muscles de Joseph Nianga, ses gros biceps et ses hanches de Bon Catcheur lui ont permis de «créer en Mbéba» aussi facilement comme au temps de Sodome et Gomorrhe. Quel royaume de Tchambitsiombal satanique de M’pila !

A y regarder de plus près, il y a lieu de se poser quelques questions. Notre Commandant adjoint des Blindés du Chef de l’Etat voulait-il tester sa virilité et toute sa puissance physique sur le corps tout frais et sans doute de la fille de son propre collègue de la Présidence? A en croire plusieurs sources concordantes et certaines confidences, notre fameux «Violeur de la Résidence de M’pila», ne serait pas à son premier coup ; il se passe pour un habitué de ce genre d’actes en Mbéba qu’il réussissait, très souvent, à étouffer en sa qualité de Comandant adjoint des Blindés de la DGSP.

En outre, serait-il un nouvel adepte de la secte pernicieuse du roi ou encore des autres pratiques mystiques ou méphistophéliques à caractère satanique qui sont aujourd’hui à la mode au Congo et particulièrement à M’pila ?

Pour certains observateurs attentifs, le sadisme, la délinquance sexuelle et l’immoralité, affichés par le pédophile de M’pila, Joseph Nianga seraient liés à certains rites magiques propres à la plupart des acteurs politiques du moment qui, très souvent, abusent de leur propres enfants, nièces, cousines et même des folles..

Quand l’immoralité, le déshonneur et la délinquance sexuelle font leur entrée à la résidence privée d’un chef de l’Etat, il y a lieu de s’inquiéter et de s’interroger sur ce qui pourrait nous arriver dans un avenir très proche. Très touché par cet acte criminel, déshonorant et odieux, le Général Blaise Adoua, en sa qualité de Directeur de la Sécurité Présidentielle n’est pas resté insensible et sans réaction.

Le violeur et criminel Joseph Nianga après plusieurs interventions a été transféré à la Maison d’Arrêt de Brazzaville, où il occupe un petit réduit en attendant son jugement.

Aussi, quand un Commandant Adjoint des Blindés de toute la DGSP, donc, l’un des hommes de confiance du Sassou, se voit emporté diaboliquement par ses appétits et instincts sexuels incontrôlés, il est fort à craindre que la Résidence privée de M. Denis Sassou N’guesso, ne devienne, contre toute attente, un grand repère de militaires immoraux et violeurs de filles mineures.

Enfin, ceux qui auront la lourde mission de dresser le bilan des faits insolites et ubuesques qui se sont déroulés à la Résidence privée de Sassou N’guesso, durant tout son septennat, ne manqueront pas de mentionner le comportement désinvolte, indigne et immoral du fameux violeur d’une fille de 12 ans, le nommé Joseph Nianga dont la libido et les appétits sexuels incontrôlés viennent de causer l’irréparable dans la Cour du chef de l’Etat.

Intolérable !

A la vérité, les faits étant troublants et avérés, le coupable devrait mériter un procès ponctué par une série de condamnations, dommages et autres charges afin qu’il comprenne tout le mal et le grand tort qu’il vient de causer à son propre collègue de la présidence, à cette fillette de 12 ans, qui vient d’être «sauvagement et brutalement dépucelée» par Tonton Jo, un collègue de service de son père. Enfin, les magistrats congolais ont donc de la matière pour dire le droit et le faire appliquer la loi, sans peur et sans grimaces inutiles.

Voilà pourquoi, il serait étonnant et très déplorable de voir bientôt ce violeur patenté des fillettes de 12 ans ou 10 ans, être tranquillement libéré et acquitté comme cela est devenu à la mode au Congo où la loi n’attrape que les petites mouches, laissant ainsi une certaine catégorie de malfrats et de grands voyous en libertinage abusif et très prolongé (Sic !) NDLR : Pour des raisons d’intimité, de respect et de protection de la dignité de la fillette violée par M. Joseph Nianga, son nom et son prénom ne peuvent être communiqués.

Prélude d’y revenir, plus d’une personne se demande dans la rue est-ce que ce violeur n’a-t-il pas été envoyé par son chef pour commettre cette basse besogne, quand on sait que les assoiffés du pouvoir sont prêts à tout pour s’enraciner aux affaires ? Suite à ce genre d’actes qui deviennent légion, nous avons jugé utile à partir d’aujourd’hui de parler de toutes les sociétés secrètes politiques, criminelles, religieuses, initiatiques, des mystères alchimiques, question de donner des rudiments à plus d’une personne afin de se défendre comme dans les égrégores vampires.